Historique d’Objectif Sciences International

Du Club Sciences créé par des jeunes de 17 ans jusqu’à l’ONG présente sur tous les continents, un parcours tout en aventures et en défis !

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En 2012, l’équipe de l’ONG a fêté ses 20 ans ; Consultez le Rapport Spécial 20 ans qui vous donne un aperçu complet de l’évolution de l’ONG et de ses actions :

 1992 à 2002, la naissance d’Objectif Sciences

Tout commença en 1992. L’équipe initiale de l’ONG d’aujourd’hui voir le jour. Un ballon-sonde est envoyé dans le ciel pour étudier les variations de la couche d’ozone de l’atmosphère. De ce projet, Thomas EGLI crée l’association LSA, « Les Scientifiques Amateurs » en Haute Savoie, à proximité immédiate de Genève. Ce Club Sciences a pour objectif de permettre aux jeunes (15 à 19 ans) de mener des projets scientifiques. Des animations scientifiques de ce club sont menées dans divers écoles et centres de loisirs. Puis en collaboration avec l’INRA, un projet de télédétection du Lac Léman doublé d’un système robotisé de surveillance des eaux est monté. Lors de ce projet, le Club participe avec le Lycée Saint-Joseph à Thonon-les-Bains aux Olympiades de Physique et arrive en finale nationale.

Ce projet de jeunes au bord du lac Léman consistait à étudier l’état des eaux par un robot-flotteur (descendant sa ligne de capteurs jusqu’à 100 m de fond) et la télédétection infrarouge en fausses couleurs (nacelle argentique kodak emportée par cerf-volant). C’est le premier Club Sciences qui ne reproduit pas des expériences déjà connues (pour pratiquer les sciences) mais qui mène une véritable recherche scientifiques sur une inconnue réelle. La Recherche Participative est née, mais elle ne porte pas encore ce nom. Rapidement l’INRA de Thonon les Bains (France) se joint également à cette équipe de jeunes en vue de rallier ce club à la démarche des Clubs INRA alors en pratique, et là aussi, il s’agit du premier projet qui consiste à faire une recherche réelle.

Déménageant sur Nice en 1995, l’association « Les Scientifiques Amateurs » est rebaptisée « Les Sciences Actives », dont le nom est plus adapté aux nouvelles activités développées par la structure :

  • L’organisation des Séjours de Vacances, mais aussi...
  • La formation de formateurs (IUFM, étudiants en communication et muséologie)
  • Les organisations de manifestations (ex : exposition Art & Science 1997 à Nice)
  • Les services aux collectivités locales (montage de projet sur les traitements des déchets, l’eau, l’énergie…)
  • Les interventions de l’association en Centres de Loisirs, Ecoles, Collèges et Lycées.

En 1998, un collectif de consultants se met en place sous le nom de « HORIZON Consulting » spécialisé dans des domaines tels que la culture scientifique et technique et l’ingénierie en développement économique. Ce collectif, coordonné par T.EGLI, participe à divers projets comme la création de filiales d’entreprises à l’étranger et la mise en place d’expositions pédagogiques (protection des oiseaux migrateurs, le clonage…). Il intervient aussi dans les entreprises au niveau des ressources humaines et du management.

Les deux structures « Les Sciences Actives » et « HORIZON Consulting » sont appelées en 1999, par le Ministère des Affaires étrangères. En effet, l’Ambassade de France à Tokyo décide d’organiser une opération franco-japonaise permettant l’exportation vers le Japon du savoir-faire français en matière d’éducation scientifique.

Nous voyons ainsi en Août 2000, un séjour scientifique proposé pour les jeunes au bord du lac Towada, à Kosaka au Japon. Une trentaine d’adolescents et 7 éducateurs français et japonais abordent ensemble dans les 2 langues des thèmes tels que la sismologie, les énergies renouvelables et la biodiversité. Suite au séjour, les deux structures (LSA et HC) sont chargées par le service scientifique et technique de l’ambassade de mener une réflexion de fond visant à la pérennisation professionnelle et commerciale du tourisme scientifique en France et à l’étranger.
Cette réflexion débouche en 2002 à la fusion des « Sciences Actives » et d’ « HORIZON Consulting ». Cette nouvelle structure a pour nom « Objectif Sciences ». Elle revêt le statut d’association à but non lucratif, son objectif principal étant la diffusion de la culture scientifique et technique.

 L’association Objectif Sciences se développe

Jusqu’en 2004, nous assistons à de nombreuses réflexions et tentatives parmi lesquelles la conception et la préparation d’une agence de conception de voyages dans le tourisme scientifique, tourisme écologique et tourisme ethnique. Elle ne fut pas lancée du fait d’un marché encore trop peu développé à ce moment là.

Courant 2004, Objectif Sciences propose d’organiser des camps sciences correspondants aux attentes des Centres de Recherches tels que le CNRS, l’INRA… La structure se base sur un modèle qui est celui d’aujourd’hui, c’est-à-dire « La formation à la Recherche par la Recherche » menée sur des inconnues réelles afin de diffuser la culture scientifique et technique auprès du grand public. C’est l’invention de la Recherche Participative sur des Séjours pour la première fois au monde ! les Séjours de Sciences Participatives Sciences Participatives Les http://www.vacances-scientifiques.com/-Liste-des-Sejours-.html. .

En 2005, l’association se voit acquérir un ancien centre des Pupilles de l’Education Publique (PEP) en Auvergne. Ce bâtiment se situe à Saint-Anthème, en Auvergne (France) et date des années 70. Après des travaux de rénovation, le Centre de Saint-Anthème ouvre ses portes en juillet.

Il accueille pour l’été plus de 200 jeunes et une trentaine d’éducateurs scientifiques. Les premiers thèmes de recherche portent :

  • sur la vie avec les Camps UNIVERS (eau, écosystèmes, archéologie, volcanologie, astronomie),
  • sur l’aéronautique avec les Camps PARADISAEA (le premier planeur à énergie solaire thermovoltaïque),
  • sur les logiciels libres avec les Camps SPIP (programmation de logiciels libres sur Internet).

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La fin de l’année 2005 et l’année 2006 voient les activités de ce Centre s’étendre aux petites vacances (toussaint, pâques), et aux Classes de Découvertes Scientifiques (écoles primaires, collèges, lycées, centre de loisirs, comités d’entreprises…).

Durant l’année 2006, une proposition est lancée d’installer des Clubs Sciences dans les grandes villes de France (Lyon, Rennes, Nantes, Grenoble, Lille et Aix-Marseille) avec pour objectif la réalisation de projets scientifiques avec les établissements scolaires, mais également lors d’activités extrascolaires. La priorité est toutefois donnée à la pérennisation des Centres de Séjours Scientifiques et le développement à l’international. Ces clubs deviennent ensuite (2019) les Clubs de Sciences Citoyennes Sciences Citoyennes Les http://www.vacances-scientifiques.com/-Liste-des-Sejours-.html.

L’exercice de vulgarisation scientifique prend différentes formes. Il peut s’agir de l’observation de différentes espèces animales : oiseaux, insectes, reptiles et mammifères, afin de les répertorier. Cela peut également s’appliquer à la biodiversité marine. La vulgarisation peut également être appliquée à la géologie grâce au développement des technologies satellites qui se sont démocratisées grâce à l’essor du drone (géo-référencement), et même dans le domaine de l’astronomie par la cartographie du ciel.

Les possibilités sont nombreuses et ne demandent qu’à être saisies.
Objectif Sciences International.

L’été 2006, le centre accueille plus de 400 jeunes et voit l’apparition de deux nouveaux programmes de camps sciences :

  • ECOLOGIS, l’architecture du futur,
  • PERCEPTION, l’étude de la nature et de l’archéologie.

C’est le développement des Séjours au niveau d’une véritable Recherche de pointe.

2006, c’est également l’année de lancement de la première expédition de sciences citoyennes Sciences Citoyennes Les http://www.vacances-scientifiques.com/-Liste-des-Sejours-.html.

L’exercice de vulgarisation scientifique prend différentes formes. Il peut s’agir de l’observation de différentes espèces animales : oiseaux, insectes, reptiles et mammifères, afin de les répertorier. Cela peut également s’appliquer à la biodiversité marine. La vulgarisation peut également être appliquée à la géologie grâce au développement des technologies satellites qui se sont démocratisées grâce à l’essor du drone (géo-référencement), et même dans le domaine de l’astronomie par la cartographie du ciel.

Les possibilités sont nombreuses et ne demandent qu’à être saisies.
sur les traces de la panthère des neiges, conçue dès l’automne 2004, qui voit ainsi sa concrétisation.

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En 2007 durant l’été, Objectif Sciences ouvre son premier centre à l’étranger, au Québec.

Les thématiques abordées sont l’astronomie, les systèmes aquatiques et terrestres environnants (études des Baleines et des Bélugas notamment) et la propulsion électrohydrodynamique (EHD).
Par ailleurs, la première expédition Scientifique de l’association au Kirghizstan organisée pour des jeunes d’une vingtaine d’années, se déroule pendant cet été. Elle a pour objectif d’étudier la panthère des neiges (espèce protégée) dans ce pays.

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 La naissance d’un réseau : Objectif Sciences International

Afin de ne pas gêner une autre association portant le nom de « Objectif Science » sans S, « Objectif Sciences » devient en Août 2008, « Centre de Séjours Scientifiques Europe » en ce qui concerne le centre de Saint-Anthème et « Centre de Séjours Scientifique Canda-USA » en ce qui concerne le centre du Québec. Ces deux associations sont regroupées dans le réseau associatif « Objectif Sciences International » (OSI) qui devient une ONG internationale basée à Genève.
Dans la même année, des séjours sont organisés à Tahiti (recherches sur l’écosystème aquatique) et au Japon (recherches sur la géothermie).

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En 2009, « Objectif Sciences International » (OSI) s’est fortement orienté sur la Recherche scientifique et l’Education aux Sciences en faveur de la résolutions de problèmes de Développement Durable. L’OING est présente :

  • en France pour le Centre de Séjours Scientifiques Europe,
  • au Québec pour le Centre de Séjours Scientifiques Canada-USA,
  • à Tahiti (île de Huahine) pour Centre de Séjours Scientifiques Pacifique Sud,
  • au Congo RDC pour le Centre de Séjours Scientifiques Afrique Centrale,
  • des séjours scientifiques à Tahiti (où l’appropriation d’un terrain de façon permanente par l’association est en finition)
  • au Kirghizstan via l’Expédition PANTHERA coordonnée par le Centre de Séjours Scientifiques Europe
  • prochainement au Japon via la concrétisation de plusieurs années d’expériences pilotes.

En 2010, l’ONG est également présente

  • pour la première fois aux USA, sur le Parc de YellowStone, dans le cadre d’un nouveau dispositif qui voir le jour cette même année : les Séjours Linguistiques de Journalisme Scientifique.
  • au Japon, via une importante Classe de Découvertes Scientifiques organisées pour un lycée français

en 2011, de nouvelles destinations sont prévues, et apparaissent également de nouvelles langues, y compris régionales, telles que l’Occitan en France, ou le Tahitien Reo Maohi en Polynésie Pacifique. Sur le plan général et international, c’est surtout l’annonce de l’obtention du Statut Consultatif Spécial auprès de l’ECOSOC (ONU) qui retient notre attention cette année là. A partir de ce jour, l’ONG va jouer son rôle auprès des instances internationales.

En 2012, l’équipe de l’ONG fête ses 20 ans ! Consultez le Rapport Spécial 20 ans qui vous donne un aperçu complet de l’évolution de l’ONG et de ses actions :

En 2017, ce sont les 25 ans, et déjà nous sommes repartis pour un nouveau cycle de 5 ans, avec la 10e édition du FORUM DE GENEVE organisé par OSI, à l’ONU, en décembre 2018.

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